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Culture et Actualité 269

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Enquête ouverte après la découverte «d'engins factices» à bord d'un vol Air France

Publié le 20 Décembre 2015 par Nadjib Ahmed in International

© -/AFP Le vol AF 463, avec 459 personnes à bord et 14 membres d'équipage a atterri à l'aéroport international Moi de Mombasa, sur la côte est du Kenya, à 00h37 locales (21h37 GMT).

© -/AFP Le vol AF 463, avec 459 personnes à bord et 14 membres d'équipage a atterri à l'aéroport international Moi de Mombasa, sur la côte est du Kenya, à 00h37 locales (21h37 GMT).

Un avion en direction de Paris a dû atterrir en urgence dans la nuit de samedi à dimanche au Kenya après la découverte à bord d'un engin artisanal ressemblant à une bombe. Le PDG d'Air France a demandé l'ouverture d'une enquête.

Est-ce une simple plaisanterie ou un moyen de semer la terreur? Le fait est qu'un engin suspect a déclenché la panique samedi soir à bord d'un avion d'Air France en provenance de l'île Maurice et à destination de l'aéroport Charles-de-Gaulle à Paris. L'appareil a fait un atterrissage d'urgence dans la nuit de samedi à dimanche à Mombasa, au Kenya, après la découverte d'un colis suspect à bord. Les passagers ont tous été évacués sains et saufs.

Le vol AF 463, avec 459 personnes à bord et 14 membres d'équipage, avait quitté l'île Maurice à 21h00 locales et devait arriver à Paris à 05h50 locales. Il a atterri à l'aéroport international Moi de Mombasa, sur la côte est du Kenya, à 00h37 locales.

«Fausse alerte» confirme le PDG d'Air France

La compagnie a indiqué dimanche que ces objets trouvés étaient «des engins factices». Lors d'une conférence de presse dans l'après-midi, le PDG d'Air France Frédéric Gagey a confirmé qu'il s'agissait d'une «fausse alerte». L'engin est «un ensemble composé de cartons et d'une espèce de minuteur», a-t-il détaillé. Il s'agit d'une «confection artisanale pas susceptible d'exploser, retrouvée dans un placard dans les toilettes» par un passager qui a donné l'alerte aux alentours de 22h. Cet endroit, ainsi que l'ensemble des placards, avait fait l'objet «d'une visite de sûreté» de la part de l'équipage avant le décollage. Rien n'y avait découvert, a indiqué le PDG. Interrogé sur le fait que l'engin aurait pu être déposé pendant le vol, le PDG a répondu: «C'est votre déduction.» «Mais comme il y a eu une visite avant le vol et qu'on ne l'a pas trouvé, je pense qu'il a sans doute été placé là pendant le vol», a-t-il ajouté.

source: http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/enqu%C3%AAte-ouverte-apr%C3%A8s-la-d%C3%A9couverte-%C2%ABdengins-factices%C2%BB-%C3%A0-bord-dun-vol-air-france/ar-BBnLgJh?li=AAaCKnE&ocid=mailsignoutmd

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